dimanche 11 novembre 2018

11 novembre 2018

   Depuis le potager, où j'ai ramené la fameuse banderole des Foulées ("Non à la préemption et au bétonnage par la mairie"),



je m'apprêtais à écouter le discours du maire pour le 11 novembre, quand j'ai été traitée de "connasse" par un conseiller municipal, qui m'a ainsi interpellée de l'autre côté du mur au vu et au su de tous.
   Quand le pouvoir en place ne supporte pas la contestation.... 
   Heureusement, une voix féminine partie de la modeste foule présente l'a rappelé à l'ordre, "Régis".... Et la cérémonie a pu commencer...


  Ce qui est frappant, c'est que, lorsque je faisais circuler avec Myriam Vidal durant l'été 2002 une pétition dans le village pour que la municipalité remette l'eau dans le lavoir et la fontaine, alors que la mairie avait décidé de couper l'eau pour tout l'été, ce même conseiller municipal, Monsieur Régis Cottin, m'avait dit devant la porte de la mairie : "si tu continues il va t'arriver quelque chose"....
   Il y a de petites phrases qu'on n'oublie pas...
   Et pourtant je continue...
  Cela s'appelle la liberté d'expression.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Payés pour ne pas répondre à une lettre ouverte, nos élus cherchent un bénévole pour le compost communal

 Cherchez l'erreur. Trois mois après la lettre ouverte adressée à la mairie et à la commission eau, restée sans aucune réponse, les élus...